Direction (fanfic Pokémon)
Chapt 1 : Kaorine (avant correction 1)
Lucario et Kaorine marchait dans la rue principale, sous les applaudissements des passants. Les rues étaient bruyantes depuis leurs retours, mais bruyantes de joie et de bonne humeur, le danger avait été écarté, par ce jeune pokémon : Lucario.
Lucario était orphelin lorsqu'il n'était encore qu'un Riolu, il avait été abandonné par ces parents à l'âge de six ans, pour une cause d'argent. Depuis, il n'a cessé de chercher ces parents désespérément, sans succès, bien entendu.
Kaorine est aventurier, et « héros » depuis toujours, héros de Poképolis. Il est depuis toujours réputé dans sa ville. Acclamé dans les rues comme « héros », il a toujours su être modeste, la modestie, après tout, c'est l'art d'être soi-même, sans s'en venté.
Kaorine a rencontré Lucario lors de sa visite du musée antique, Lucario avait obtenu le poste de guide dans ce musée, c'est là qu'ils se sont rencontrés. Laissez-moi vous compter cette histoire formidable...
C'était le 25 janvier 1994, cette année était la plus fraîche jamais vécue par les habitants de Poképolis, cette fraîcheur atteignait même des records. N'allez pas croire que les héros ont des supers-manteaux ou d'autres gadgets dans le style, ce sera faux, Kaorine eu très froid aussi. C'est une idée farfelu d'aller dans un musée avec des passages extérieurs par ce froid, mais c'est ce que Kaorine fut, à vrai dire, il avait surtout envie de solitude, pour réfléchir a une chose, plus que sérieuse : comment allait-il s'y prendre pour arrêter Tyrannocif, le bandit au cœur de pierre. Il était seul a avoir choisi la visite du musée des dinosaures par Lucario.
La visite avait commencé dès son arrivé, Lucario lui fit toutes les formules de politesse, en passant par « Bonjour et bienvenue au musée des dinosaures » a « Kaorine ?! C'est bien vous ?! », mais Kaorine ne fut pas du tout surpris par toutes les bêtises que Lucario disait en débutant la visite.
Ils passèrent tout d'abord dans la salle où était exposé le squelette de l'incroyable diplodocus, un dinosaure gigantesque qui laissait toujours les visiteurs perplexes. Mai Kaorine ne fut, encore une fois pas surprit. Passèrent ensuite les sales du tyrannosaure, des anciens animaux marins, des fossiles géants, mais sans ébahir Kaorine. Lucario commençait a avoir un peu marre que Kaorine ne dise rien, ne pose aucune question, soit un client sans intérêts... c'est alors qu'il eu l'idée de l'emmener là où il n'avait pas droit d'aller avec ses visiteurs : La salle du squelette de Tyrannocif.
Kaorine demanda quand même pourquoi ils ne suivaient pas les flèches jaunes qui indiquaient l'endroit où aller, mais ne contesta pas trop et suivi Lucario malgré ses doutes. Ils étaient dans le couloir menant à la salle où il voulait aller, mais celui-ci était surveillé. Lucario sortit des shurikens et en lança deux : Un sur chaque caméra. Kaorine demanda ce que faisait Lucario et où voulait-il l'emmener, mais encore une fois, il n'insista pas trop et finit par suivre Lucario .
Arrivés à la salle contenant le squelette de Tyrannocif, Kaorine s'ébahit, cette fois pour de vrai. Il était vraiment heureux, on aurait pu décrire ses yeux avec trente lignes tellement ils brillaient, c'en était merveilleux. Kaorine fit une proposition à Lucario, des plus... étranges «
-Dis-donc jeune homme, comment savais-tuque je cherchais ça ?
-je ne le savais pas, mais je vous voyais sans vraiment être très heureux de voir tout ces squelettes antiques, donc j'ai eu l'idée de vous emmener dans cet endroit, où est exposé un squelette de légende.
-Oui, et j'ai besoin de ces os, mais ils n'y sont pas tous, j'en ai récupéré deux, mais je ne crains que ce soit suffisant pour pouvoir commencer le rituel, je n'aurais certainement pas tout les os à temps, désolé d'avance si tu perds la vie... Lucario ?
-oui, c'est ainsi que je m'appelle, mais pourquoi si tout les os ne sont pas sur le squelette est grave ? Je ne comprends pas là pour le coup.
-Ce qui arrivera importe peu, mais il faut éviter que ça arrive, regarde les gens dehors, ils jouent, ils s'amusent, ils sont heureux quoi, et ça, c'est ma raison de vivre, si ça s'arrête, je ne suis plus rien, rien qu'un corps errant sans but ni âme...
-Bon, que puis-je faire ?
-Oui, tu pourrais m'aider, j'ai vu que tu était plutôt bon, la preuve, tu t'es infiltré ici.
-Pas pour longtemps, les gardes arrivent, si on ne part pas, on est mal, vous tout autant que moi, vite !! Courez !! »
Les deux, maintenant devenus complices, s'élancèrent pour pouvoir peut-être sortir à temps. Kaorine volait, lévitait plutôt, mais se déplaçait très vite malgré son poids imposant. Quant à Lucario, il courait sur ses pattes arrières, la tête en avant. «
-L'aura, tu as de l'aura ? Lucario ?
-oui, Qu'y a-t-il ?
-Tu maîtrises l'aura à ce que je vois, c'est très intéressant, vraiment.
-Merci, mais vous savez, l'aura est un peu un don qu'ont tout les Lucario dès leur naissance, c'est quelques chose que nous avons déjà obtenu sans rien demander, c'est plutôt pratique parfois, j'avoue. Mais pour l'heure, courons, ils sont tout proche.
Lucario et Kaorine finirent malgré tout à sortir du musée. Le temps n'avait pas changé, il faisait toujours aussi froid, il nageait à ne plus voir son nez et Kaorine souffrait, ça se voyait. Il voulait rentrer dans un endroit chauffé au plus vite, disait-il. Lucario savait où il voulait aller, là où il dormait, là où il vivait : La maison abandonnée qui faisait le coin du carrefour. C'est d'ailleurs là où ils arrivèrent, Lucario entra, mais ne fut pas suivi. «
-C'est là que tu couche ? Mon dieu, c'est sale et dangereux.. ;
-Oui, mais je n'ai pas de quoi me payer un logement potable, donc je fais avec ce que j'ai, mais je ne m'en porte pas trop mal, rassurez-vous.
Ils entrèrent et s'assirent autour d'une table, qui elle, était bien convenable. Les meubles étaient effectivement mieux que les murs, il y avait un lit, de quoi cuisiner, et tout le nécessaire pour vivre, finalement, les murs délabrés ne se voyaient presque pas, on aurait dit un détail superficiel, sans importances. Tout paraissait si idéale, si paisible, Kaorine avait l'air content. «
-Si j'ai bien compris, c'est ma nouvelle maison, étant donné que je n'en ai pas.
-Si tu veux, c'est un peu ça...
-Sauf que pas pour longtemps, rappelle-toi, on va partir chercher les os dans quelques jours, le temps nous ai compté
-Je sais, et c'est ça qui m'inquiète mais bon, dormons, ça risque d'être important, si on part dès demain.
-On ne partira pas demain, quelques préparatifs restent à faire. Mais nous partirons bien assez tôt. Et bonne nuit, nouveau camarade...
-Bonne nuit !
Les deux nouveaux compagnons d'aventure allèrent dormir mais ne firent pas que des rêves. Cette nuit fut tout de même tourmentée, les rêves de Lucario furent brutaux,,il se réveilla plusieurs fois mais ses rêves étaient flous, il ne comprenais pas bien ce qu'ils voulaient dire. Mais une phrase revenais dans chaque rêve, avant que le rêve ne disparaissent et que Lucario se réveille, un mystérieux Pokémon qu'il n'avait jamais vu disait : « Quoi qu'il en soit, j'ai ma carte à jouer ! J'y arriverais, mais il faut qu'ils m'aident ». Lucario ne fut pas trompé, il avait bien compris, c'était bien de lui que l'étrange personnage parlait, il avait besoin de lui, mais comment l'aider ?
Le matin venu, Lucario fut réveillé par Kaorine qui préparais déjà le petit déjeuné, tout était sorti, tartines, brioches, confitures, Lucario se demandait d'ailleurs où Kaorine avait trouvé tout ça. En tout cas, il ne l'avait pas trouvé dans les placards, ils étaient tous presque vide. Mais tout était bien là, ce n'était pas un rêve. «
-Tu sais combien de temps tu as dormi Lucario ?
-A vrai dire... non.
-Alors regarde le soleil. »
Lucario fit ce que son ami lui dit, mais rien ne lui montrait qu'il avait beaucoup dormi car en ce moment, il neigeait tellement qu'on ne voyait pas si il faisait jour ou pas, il faisait tellement sombre que la lumière n'était presque pas utile, le soleil n'aurait pas été là que les habitants ne l'aurait pas remarqué. C'était à ne plus rien y voir.
Kaorine lui raconta qu'il s'était réveillé sans vraiment se réveillé, il avait fait un peu le somnambule, il se levait, se réveillait sans être réveillé, il dormait à moitié. Kaorine lui raconta aussi qu'il suait, sa transpiration avait trempé ses draps, et plein de chose du genre, mais la chose que Lucario retenu, c'était cette phrase : « Quoi qu'il en soit, j'ai ma carte à jouer ! J'y arriverais, mais il faut qu'ils m'aident » Lucario avait le sentiment que cette phrase était à la base de chaque rêves. Elle voulait dire quelques chose, elle voulait que les deux compagnons viennent l'aider, mais elle ne donnait pas d'information précise, la voix n'avait rien donné, pas d'endroit, pas de lieu où se rencontrer, mais Lucario sentait qu'il aurait plus d'informations très prochainement.
Direction
Chapt 1 : Kaorine (près première correction)
Lucario et Kaorine marchait dans la rue principale. Sous les applaudissements des passants. Les rues étaient bruyantes depuis leurs retours, mais bruyantes de joie et de bonne humeur, le danger avait été écarté avec ingéniosité et travail, par ce jeune pokémon : Lucario.
Lucario était orphelin lorsqu'il n'était encore qu'un Riolu, il avait été abandonné par ces parents à l'âge de six ans, pour une cause d'argent. Depuis, il n'a cessé de chercher ces parents désespérément, sans succès, bien entendu.
Kaorine est aventurier, et « héros » depuis toujours, héros de Poképolis. Il est depuis toujours réputé dans sa ville. Acclamé dans les rues comme « héros », il a toujours su être modeste, la modestie, après tout, c'est l'art d'être soi-même, sans s'en venté.
Kaorine a rencontré Lucario lors de sa visite du musée antique, Lucario avait obtenu le poste de guide dans ce musée, c'est là qu'ils se sont rencontrés. Laissez-moi vous compter cette histoire formidable...
Poképolis, ville de rêve, du moins, ancienne ville de rêve. Autrefois, la ville était capitale, mais malheureusement, ça n'a pas duré, après la révolution, le roi fut assassiné . Au début, c'était bien, mais les habitants virent que tout se dégradait, les rues devenaient sales, sales de détritus et de déchets que les passants jetaient sans vraiment s'en préoccuper. Mais ils oubliaient encore que le gouvernement disparu, personne ne venait les ramasser. De même que les maisons, tout se dégradait, des morceaux de murs tombaient, ils devenaient jaunes, jaunes crasse. Poképolis était loin de son ancienne appellation : « ville de rêve ».
C'était le 25 janvier 1994, cette année était la plus fraîche jamais vécue par les habitants de Poképolis, cette fraîcheur atteignait même des records, le mercure contenu dans les thermomètres avait glacé pour ceux qui le laissait au sur le rebord de leur fenêtres. Kaorine eu très froid aussi, il était d'ailleurs habillé en conséquent, doudoune, écharpe, bonnet, ... C'est une idée farfelu d'aller dans un musée avec des passages extérieurs par ce froid, mais c'est ce que Kaorine fut, à vrai dire, il avait surtout envie de solitude, pour réfléchir a une chose, plus que sérieuse : comment allait-il s'y prendre pour arrêter Tyrannocif, le bandit au cœur de pierre, un tyrannosaure plus qu'agressif, méchant comme inimaginable. Ce vil pokémon voulait simplement récupérer ses os, pour se reconstruire et détruire la ville dont il a été banni lors de son premier attentat. Il était seul a avoir choisi la visite du musée des dinosaures par Lucario. Lucario était devenu guide dans ce musée car il aimait les dinosaures, mais surtout car c'était l'un des seuls bouleaux restant dans cette ville, et qu'aller a la ville voisine, juste pour travailler ne l'enchantait guère.
La visite avait commencé dès son arrivé, Lucario lui fit toutes les formules de politesse, en passant par « Bonjour et bienvenue au musée des dinosaures » a « Kaorine ?! C'est bien vous ?! », mais Kaorine ne fut pas du tout surpris par toutes les bêtises que Lucario disait en débutant la visite.
Ils passèrent tout d'abord dans la salle où était exposé le squelette de l'incroyable diplodocus, ce squellette faisait toujours frissoner les visiteurs, notamment grâce à sa taille, mais aussi grâce à son imense cou. Mais Kaorine ne fut, encore une fois pas surprit. Passèrent ensuite les salles du tyrannosaure, des anciens animaux marins, des fossiles géants, mais sans ébahir Kaorine. Lucario commençait a avoir un peu marre que Kaorine ne dise rien, ne pose aucune question, soit un client sans intérêts... c'est alors qu'il eu l'idée de l'emmener là où il n'avait pas droit d'aller avec ses visiteurs : La salle du squelette de Tyrannocif.
Kaorine demanda quand même pourquoi ils ne suivaient pas les flèches jaunes qui indiquaient l'endroit où aller, mais ne contesta pas trop et suivi Lucario malgré ses doutes. Ils étaient dans le couloir menant à la salle où il voulait aller, ce couloir n'avait pas été entretenu depuis déjà un moment, ça se voyait sur les murs, des oréoles et des bouts tombés, sans doutes car le patron ne voulait pas que les agents d'entretient vienne ici. Ce couloir était possédait aussi deux caméras positionnées en hauteur. Lucario entra un code sur un boitier colé au mur, le mur s'ouvrit pour laisser place a une salle, la salle des caméras, qui d'ailleurs, n'était pas vide. Un Granbull était dedans, mais dormait, ce qui permit à Lucario de désactionner les caméra pour passer dans le couloir tranquillement. Kaorine demanda ce que faisait Lucario et où voulait-il l'emmener, mais encore une fois, il n'insista pas trop et finit par suivre Lucario .
Arrivés à la salle contenant le squelette de Tyrannocif, Kaorine s'ébahit, cette fois pour de vrai. Il était vraiment heureux, on aurait pu décrire ses yeux avec trente lignes tellement ils brillaient, c'en était merveilleux. Kaorine fit une proposition à Lucario, des plus... étranges «
-Dis-donc jeune homme, comment savais-tu que je cherchais ça ?
-je ne le savais pas, mais je vous voyais sans vraiment être très heureux de voir tout ces squelettes antiques, donc j'ai eu l'idée de vous emmener dans cet endroit, où est exposé un squelette de légende.
-Oui, et j'ai besoin de ces os, mais ils n'y sont pas tous, j'en ai récupéré deux, mais je ne crains que ce soit suffisant pour pouvoir commencer le rituel, je n'aurais certainement pas tout les os à temps, désolé d'avance si tu perds la vie... Lucario ?
-Mais... mais quoi??!! je vais mourir ??!! expliquez moi ! Je ne comprends pas !
-Ce qui arrivera importe peu, mais il faut éviter que ça arrive, regarde les gens dehors, ils jouent, ils s'amusent, ils sont heureux quoi, toi de même, et ça, c'est ma raison de vivre, si ça s'arrête, je ne suis plus rien, rien qu'un corps errant sans but ni âme...
-Mais c'est quoi ??!! pourquoi vais-je mourir ??!!
-Bah... à vrai dire, tu ne mourras pas forcément, pas si tu détourne la chose, tu mourras comme tout les autres ici si jamais il arrive jusqu'à Poképolis
-Comment ça : « il » ?
-Tyrannocif, lui, c'est à Tyrannocif qu'appartient ce squelette, d'ailleurs, il faudrait mieux éviter qu'il le retrouve, sinon, il pourrait redevenir très fort, et il détruirait Poképolis.
-Ah ouais... je vois le genre, mais il ne peut pas venir ici sans os, et encore moins se les ré-approprier.
-Si, en haut de la grande montagne, il y a un sanctuaire, tu le sais, et bien figure toi que dans les soutérains de ce sanctuaire, il y a un labyrinthe qui mène à un autel, ingénieux nos ancêtres hein ? Ils ont eu une bonne idée de le dissimulé comme ça. Le problème c'est que dans le futur, un chercheur va découvrir ce sanctuaire...
Les deux, maintenant devenus complices, s'élancèrent pour pouvoir peut-être sortir à temps. Kaorine volait, lévitait plutôt, mais se déplaçait très vite malgré son poids imposant. Quant à Lucario, il courait sur ses pattes arrières, la tête en avant. «
-L'aura, tu as de l'aura ? Lucario ?
-Oui, qu'y a-t-il ?
-Tu maîtrises l'aura à ce que je vois, c'est très intéressant, vraiment.
-Merci, mais vous savez, l'aura est un peu un don qu'ont tout les Lucario dès leur naissance, c'est quelques chose que nous avons déjà obtenu sans rien demander, c'est plutôt pratique parfois, j'avoue. Mais pour l'heure, courons, ils sont tout proche.
Lucario et Kaorine finirent malgré tout à sortir du musée. Le temps n'avait pas changé, il faisait toujours aussi froid, il nageait à ne plus voir son nez et Kaorine souffrait, ça se voyait. Il voulait rentrer dans un endroit chauffé au plus vite, disait-il. Lucario savait où il voulait aller, là où il dormait, là où il vivait : La maison abandonnée qui faisait le coin du carrefour. C'est d'ailleurs là où ils arrivèrent, Lucario entra, mais ne fut pas suivi. «
-C'est là que tu couche ? Mon dieu, c'est sale et dangereux.. ;
-Oui, mais je n'ai pas de quoi me payer un logement potable, donc je fais avec ce que j'ai, mais je ne m'en porte pas trop mal, rassurez-vous.
Ils entrèrent et s'assirent autour d'une table, qui elle, était bien convenable. Les meubles étaient effectivement mieux que les murs, il y avait un lit, de quoi cuisiner, et tout le nécessaire pour vivre, finalement, les murs délabrés ne se voyaient presque pas, on aurait dit un détail superficiel, sans importances. Tout paraissait si idéale, si paisible, Kaorine avait l'air content. «
-Si j'ai bien compris, c'est ma nouvelle maison, étant donné que je n'en ai pas.
-Si tu veux, c'est un peu ça...
-Sauf que pas pour longtemps, rappelle-toi, on va partir chercher les os dans quelques jours, le temps nous ai compté
-Je sais, et c'est ça qui m'inquiète mais bon, dormons, ça risque d'être important, si on part dès demain.
-On ne partira pas demain, quelques préparatifs restent à faire. Mais nous partirons bien assez tôt. Et bonne nuit, nouveau camarade...
-Bonne nuit !
Les deux nouveaux compagnons d'aventure allèrent dormir mais ne firent pas que des rêves. Cette nuit fut tout de même tourmentée, les rêves de Lucario furent brutaux,,il se réveilla plusieurs fois mais ses rêves étaient flous, il ne comprenais pas bien ce qu'ils voulaient dire. Mais une phrase revenais dans chaque rêve, avant que le rêve ne disparaissent et que Lucario se réveille, un mystérieux Pokémon qu'il n'avait jamais vu disait : « Quoi qu'il en soit, j'ai ma carte à jouer ! J'y arriverais, mais il faut qu'ils m'aident ». Lucario ne fut pas trompé, il avait bien compris, c'était bien de lui que l'étrange personnage parlait, il avait besoin de lui, mais comment l'aider ?
Le matin venu, Lucario fut réveillé par Kaorine qui préparais déjà le petit déjeuné, tout était sorti, tartines, brioches, confitures, Lucario se demandait d'ailleurs où Kaorine avait trouvé tout ça. En tout cas, il ne l'avait pas trouvé dans les placards, ils étaient tous presque vide. Mais tout était bien là, ce n'était pas un rêve. «
-Tu sais combien de temps tu as dormi Lucario ?
-A vrai dire... non.
-Alors regarde le soleil. »
Lucario fit ce que son ami lui dit, mais rien ne lui montrait qu'il avait beaucoup dormi car en ce moment, il neigeait tellement qu'on ne voyait pas si il faisait jour ou pas, il faisait tellement sombre que la lumière n'était presque pas utile, le soleil n'aurait pas été là que les habitants ne l'aurait pas remarqué. C'était à ne plus rien y voir.
Kaorine lui raconta qu'il s'était réveillé sans vraiment se réveillé, il avait fait un peu le somnambule, il se levait, se réveillait sans être réveillé, il dormait à moitié. Kaorine lui raconta aussi qu'il suait, sa transpiration avait trempé ses draps, et plein de chose du genre, mais la chose que Lucario retenu, c'était cette phrase : « Quoi qu'il en soit, j'ai ma carte à jouer ! J'y arriverais, mais il faut qu'ils m'aident » Lucario avait le sentiment que cette phrase était à la base de chaque rêves. Elle voulait dire quelques chose, elle voulait que les deux compagnons viennent l'aider, mais elle ne donnait pas d'information précise, la voix n'avait rien donné, pas d'endroit, pas de lieu où se rencontrer, mais Lucario sentait qu'il aurait plus d'informations très prochainement.
Chapt 2 : Momartik, le froid en personne
Nous voilà maintenant deux jours plus tard, nous sommes le 28 janvier de l'année 1994, Il faisait toujours aussi froid. C'était à se demander si ça ne s'était pas encore refroidit. La température plus que désastreuse frappait beaucoup de pokémon, les informations télévisées annonçaient de plus en plus de morts, la situation était grave. Kaorine disait souvent que ce froid n'était pas normal, perdre 40° en trois jours était selon lui, beaucoup trop pour être normal. C'est pour cela qu'il avait décidé d'aller au laboratoire météorologique de la ville. Il disait que ce serait là où ils trouveraient les informations nécessaires pour trouver le coupable, car oui, Kaorine ne pensait pas que la nature soit dans le coup.
Après s'être préparé comme chaque matin, ils se dirigèrent vers la sortie 4 de la ville, car tout simplement, le centre à beau appartenir à la ville, il n'y est pas, il est un peu à l'extérieur de la ville.
Lorsque le centre météorologique était en vu, ils coururent, ils avaient vraiment très froid. Le centre météorologique était un espèce de grand dôme rond, blanc avec des antennes un peu partout, il pourrait être confondu avec une base spatiale, mais rien n'aurait pu contredire la personne le pensant. Ils entrèrent dans le dôme, tout était très bien organisé, tout était très bien rangé, mais des pokémon courraient de partout avec les mains pleines. Lucario les compta, ils étaient 4, 4 pokémon pour gérer tout une base météorologique...
Ils furent par contre, très bien accueillis, surtout Kaorine, Karaclé s'occupait de lui, alors que Rattattac, Quelorior et Givrali couraient de partout, encore plus vite, avec les mains encore plus pleines. Mais cela ne dérangeait personne, surtout pas Kaorine, qui était zen comme tout. «
-Mais dis moi Karaclé, vous étiez une dizaine ici avant, pourquoi n'êtes vous plus que quatre maintenant ?
-Ils sont morts, ils sont allé faire des test et des prélèvement dehors, mais voilà, ils n'ont pas survécus au froid.
-Quelle triste histoire, dit Lucario
-Non, justement Lucario, si certains sont morts, ça veut dire qu 'ils ont été attaqués par le froid ! C'est un indice d'une importance capitale !
-Mes camarades sont morts, il n'y a que toi que ça aide Kaorine...
-Certes, désolé Karaclé, je me suis emporté, mais ça m'aide de savoir ça.
-j'avais effectivement pensé qu'ils avaient été attaqué, mais par qui ? Qui aurait fais ça ?
-ça, c'est une autre question, mais faisons le point, dès que l'un de vous sort, il meurt, donc je vais y aller, dehors, allé tâter le terrain et voir qui attaque, et comment.
-Dans ce cas, vas-y, je surveillerais les alentours avec les gens travaillant ici. Aller, on fait ça dès que j'ai fini le bulletin météo d'aujourd'hui.
Kaorine et Lucario se lancèrent dans l'inspection du laboratoire, ou plutôt dans une visite relaxante selon Kaorine. Ils passaient de pièces en pièces en admirant tout le matériel rangé de manière impeccable. Le laboratoire disposait d'une quantité de matériel incroyable, il y en avait tellement que les chercheurs avaient été contraints à les empilés sur des étagères immences.
Rattatac arriva en courant, il était tout essoufflé. Il venait juste leur annoncer que tout était près, pour le test qu'ils voulaient faire.
Arrivés dehors, ils disposèrent tout comme prévu, Givrali se plaça sur la bute est, il avait accès à toute la partie sud-est-ouest comme ça, Karaclé était à ses côtés. Kaorine avait choisi l'entrée de la forêt, Rattatac la colline ouest, et Lucario surveillait le nord. Quelorior allait faire cobaye.
Quelorior regardais une dernière fois ses amis avec crainte en se mordant la lèvre, mais il finit par accepter le sort qu'on lui réservait. Ses amis se cachèrent.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent, sans rien. Mais le crépuscule venu, une sihlouaite se pointa. Le personnage était plutôt petit, mais lévitait. Son ombre ondulait. Quand le personnage se montra, les chercheurs, Kaorine et lucario n'en revinrent pas, il était constitué de glace, mais pas seulement, c'était un fantôme. Et pas le moins connu ! Une légende parcourait la ville depuis des années comme quoi un certains Momartik se baladait dans les régions du nord en glaçant tout être vivant sur son passage. On ne disait pas que ce fantôme était méchant, on en disait qu'il deviendrait inoffensif, lorsqu'il aura trouvé ce qu'il cherchait, ou du moins, la personne qu'il cherchait. Mais une question resta dans la tête de Kaorine : « pourquoi venir au laboratoire, cette légende n'était jamais descendu aussi bas, là, il était aux portes de la ville, ce qui expliquerait le froid étrangement fort.
Momartik arriva près de Quelorior, qui se gela sur place. On pouvait voir son corps bleuté à travers la glace qui l'entourait maintenant. Des cristaux poussaient toujours, et d'un coup, toute la glace qui entourait Quelorior explosa et Quelorior avait disparu. Rattatac et Givrali accoururent, mais Karaclé resta de marbre : «
-Karaclé ! Aide nous à sauver Qulorior !! Pourquoi ne veux-tu pas venir nous aider ?! Il est peut-être encore en vie !*
-Non, vous l'avez vu exploser, comme moi, tout les cristaux sont tombés d'un coup, il n'est pas sauvable, je rage intérieurement aussi !
-je ne te croit pas ! Tu es toujours resté froid devant les morts ! Pars, je ne veux plus te voir ! cria Givrali en pleurant. On dirait que ça ne te fait rien ! On dirait même que tu es ravi !
-Parce que j'étais ravi quand Judokrak mon frère est mort peut-être ??!! pleura Karaclé.
La neige fondait aux pieds des deux personnages, leurs larmes étaient nombreuses et ne s'arrêtaient pas. Ils étaient sur les mains et se détestaient maintenant. Kaorine accouru vers Karaclé et Lucario vers Givrali, ils les aidèrent à ce relever et Lucario cria à Kaorine : «
-On se retrouve au pied de la montagne demain matin à l'aube, ces deux la ne pourront pas se supporter plus longtemps !
-d'accord, je passerais récupérer les os cette nuit. Nous en auront besoin !
Et les deux compagnons se séparèrent avec Givrali accompagnant Lucario et Karaclé, porté par Kaorine car il était encore en larmes. Mais ils avaient oublié Rattatac, qui resta donc dans la neige, sans les clés du labo emportées par Givrali. Il alla donc vers la colline où une cabane en bois gisait, ils s'en servaient pour les essais scientifique avec un danger potentiel, mais cette cabane devait être vide normalement, ce fut là son erreur.
Rattatac avançait droit vers la cabane, il avait du mal à courir avec la neige qui était très haute et qui continuait de tomber. La cabane en vue, il couru de plus belle pour atteindre la cabane, qui à son plus grand malheur, était habité...
Chapitre 3 : L'appel de Mystibule
Rattatac claqua la porte derrière lui, posa son manteau avant d'aller s’asseoir sur la chaise en paille au fond de la cabane. Le livre qu'il avait emmené il y a déjà 10 ans était toujours là, en place, sur le tabouret de bois à côté de la chaise. Il commença a lire, le livre captivait toute son attention, malheureusement il commençait à faire froid, la nuit tombait, il y a avait des couettes, des couvertures par centaines. Mais en attrapant une couverture, une ombre s'en alla à une vitesse incroyable, Rattatac avait le souffle coupé, il avait bien vu quelques chose bouger, ce n'était pas un rêve.
Il s'avança plus près de la porte, là où la charpente est plus basse, il y a avait quelqu'un coincé dans la charpente, ce n'était pas rien, cette chose bougeait. Lorsqu'elle sortit de sa cachette, Rattatac eu peur, ce n'était pas un pokémon normal, c'était un pokémon spectre, un fantôme. Rattatc se rappelait d'un avis de recherche qu'il avait vu dans la ville : « Rechercher pour grosse somme, Spectrum est dangereux, ce n'est pas un bandit à prendre à la légère ! », cela ne rassurait pas du tout Rattatac, loin de là, il n'avait jamais été doué pour les combats, son professeur avait beau s'occuper de lui souvent, il ne réussissait rien.
Spectrum commença alors, il brandit son bras telle une épée et attaqua Rattatac, qui ne pouvait rien faire, il était roulé en boule recevant des coups de son adversaire, il ne s'en sortirait pas en restant comme ça. Spectrum continuait à frapper avec puissance, mais Rattatac ne ripostait pas, il était à la merci de Spectrum, telle une proie pour un aigle. Rattatac n'était plus en point te prendre des coups, il tomba de côté. Spectrum rigolait d'un rire moqueur, mais Rattatac n'était pas mort, c'est pour ça qu'il l'acheva avec une attaque puissante, on sentait qu'il aimait voir Rattatac souffrir, c'est pour ça qu'il continuait de l'attaquer, il aurait pu l'achever, mais il préféra jouer avec un corps quasiment inerte.
Quand Rattatac ne fut plus qu'un cadavre gisant sur le sol sale de la cabane, Spectrum partit se réfugier dans les couvertures. Rattatac n'était plus, mais il ne laissait pas derrière lui un passé sans gloire ni honneur, un homme ne meurt que lorsque qu'on oublie son nom...
Plus loin, en ville, Lucario avait ramené Givrali chez lui, il l'avait posé sur le lit, celle-ci était toujours en pleures. Lucario faisait tout pour la consoler, mais Givrali était bien décidé a ne pas s'arrêter, ce qui n'encourageait pas Lucario dans sa future quête d'escalade montagnarde. Il était en train de préparer un repas, mais Givrali ne voulu rien manger, c'en était déprimant à force de la voir pleurer. Lucario eu marre de tout faire pour tenter de l'empêcher de pleurer, il vint finalement se coucher ses côtés et plaça la couverture sur eux, il dormit tôt, car Givrali s'arrêta de pleurer.
Pendant son sommeil assez profond, Lucario fit encore des rêves, mais cette fois, il avait une image assez grande pour localiser l'endroit et le pokémon, il ne voyait pas que la bouche. C'était un Mystibule, il était dans un labyrinthe, il était perdu et pleurait, mais une sorte d'autel se trouvait derrière lui. On n'aurait pas dit ça « autel », on aurait plus dit un maisonnette. Sauf que lorsque Muystibule fut à l'intérieur, tout doute fut écarté, un planche en bois était posée sur un table, un chaise à bascule était à côté. Quelqu'un était assis. Il sagissait sans doute d'un druide ou d'une sorcière, car elle prononçait des paroles incompréhensibles. Néanmoins, Lucario reconnu quelques mots, c'était la langue utilsée autrefois par les ancêtres de Lucario, les humains.
Mystibule sortit de la cabane, ou plutôt de l'autel, il marchait en direction du sud. Après heure environ, Mystibule sortait du labyrinthe, ce qui étonna Lucario qui croyait le jeune pokémon coincé. Un Lackmécygne arriva avec le journal. Lucario compris tout de suite pourquoi Mystibule pleurait dès qu'il eu une vue d'ensemble : Il était sur une montagne, la plus grande de la chaine, Mystibule était coincé en haut car les falaises étaient de tout les côtés du mont. Mystibule et l'autre pokémon étaient coincés, il fallait les sauver. De plus, Tyrannocif se dirigeait aussi là-bas, c'était sans aucun doutes là où tout allait se jouer, il fallait que Lucario et Kaorine partent dès le lendemain, pour arriver avant Tyrannocif. Ils récuperaient les deux pokémon coincés, et éliminerent Tyrannocif pour de bon. Ce serait alors la fin de la peur.
Mais une chose tracassait encore Lucario : Le froid. Découvrir qui en était à l'origine, c'était bien, mais l'attraper pour l'emprisonner, c'était autre chose. Momartik était sans doutes un pokémon sauvage, mais bien plus dangereux que les autres. Lucario avait trop de problèmes à régler à temps depuis qu 'il était aux côtés de Kaorine. Le retour d'un ancien brigand, vieux de plus de trois siècles, revenu à la vie par un phénomène mystérieux... Enfin bref, Lucario en avait marre.
Il voyait que Givrali dormait toujours, mais il la réveilla tout de même. Cette dernière se leva, avec beaucoup de mal, mais pas tant que ça, enfin elle mit moins de temps que Lucario ne pensait. Lucario préparait le repas, pendant que dans sa tête, il se remémorait son rêve, c'était sur le mont Kibadji, la plus haute montagne de la chaîne. Aucun pokémon n'avait jamais franchi cette muraille de pierres. Ce serait peut-être bien de voir l'autre côté...
Ils passeraient par le chemin n°7 pour sortir de la ville, puis ils emprunteraient le sentier menant au début de la chaîne de montagnes. Le chemin permettant d'arriver là-bas fait office de balade pour beaucoup de vilains, notamment grâce aux lacs bordant le chemin, Lucario aurait aimé aller y faire une promenade, mais ce ne serait pas le cas. On a souvent conter les valeureuses aventures d'escaladeurs, qui avaient franchi des monts entiers ! Mais personne ne voulait aller voir en haut du mont Kibadji... jugé trop dangereux et escarpé.
Lucario décida qu'ils partiraient d'ici une heure, après, il serait peut-être trop tard... Mais pourquoi Mystibule est-elle coincée là haut...?
Chapitre 4 : Spectrum, monstre au flacon.
Kaorine, accompagné de Karaclée, était déjà en route, ils se dirigeaient vers le centre météorologique, Karaclée paraissait inquiet. Non parce que Quelorior était mort, mais parce qu'il ne savait pas où Kaorine l'emmenait. Il savait que Kaorine avait parlé du mont Kibadji, mais Karaclée ne connaissait pas les raisons qui poussaient Kaorine a y allé. Surtout que le mont Kibadji n'était pas connu ses expéditions victorieuses.
Kaorine pensait à tout autre chose, il se demandait si Lucario avait pris la décision de venir, mais dans tout les cas, il ne voulait pas l'embarquer dans cette affaire, il tennait à lui.
Le chemin n°7 n'était plus loin. Ils seraient bientôt arrivés sur la grande route, qui est plus facile a empruntée. Mais avant, Kaorine voulait voir le vieille maisonnette de Gardevoir, une vieille amie de Kaorine. Gardevoir était une voyante reconnue, ainsi qu'une bonne amie de Kaorine. Mais celle-ci avait été emporté il y a vingt ans de cela par une douleur terrible, on l'avait retrouvée morte, allongée sur son lit. Kaorine avait pleuré, il en avait versé des larmes.
La maison était à peine visibles à cause de la neige qui la recouvrait, mais Kaorine réussi à la voir, le sentier menant à la maison était maintenant le refuge de la flore dense. Kaorine se fraya un chemin, Karaclée se prenait toutes les branches laissées par Kaorine.
Kaorine était maintenant devant la maison. Il n'y avait plus de serrure. Kaorine entra dans cette étrange demeure, qui, malgré le temps, lui donnait toujours un air de pureté. Kaorine aperçu une ombre passer d'un bout à l'autre de la pièce, celle-ci renversa la chaise en bois en traversant la pièce. Kaorine regarda la cheminée, avant qu'il ne s’aperçoive que la l'ombre était cachée dans la charpente.
Kaorine s'avança, suivi de Karaclée, beaucoup moins sûr de lui. Kaorine lança un couteau en direction de l'ombre. Cette dernière, effrayée par le couteau qui se contenta de le traversé, sortit de sa cachette. Kaorine eu d'abord l'impression qu'il n'y avait personne, puis vit un fantôme, un Spectrum, plus précisément. Celui-ci était statique, on sentait la peur dans son regard, il tremblait. Kaorine n'avait pas envie de lui faire peur, mais il n'en savait pas beaucoup sur lui. «
-Qui es-tu, que viens-tu faire dans cette maison abandonnée ?
-... … … Je... Je... Je n'ai plus... Je n'ai plus rien.
-C'est à dire, où est ta famille ?
-Da...Dans... dans les montagnes... Mais... Mais elle m'a laissé ici.
-Humm... moui... … Mais cette maison n'est points à toi, tu n'as pas le droit d'y venir, elle m'appartient.
-J...Je le savais ! V...Vous voulez juste me voler ma maison ! »
Spectrum se saisit d'une pierre, qu'il pouvait porter. Cela étonna Kaorine, car un fantôme n'est pas sensé pouvoir porter d'objets. Mais cette pierre était différente, elle brillait clairement, son rouge passait au rose puis revenait à sa couleur d'origine, Kaorine n'avait jamais vu ça. Karaclée sortit de sa cachette, puis essaya d'attraper la pierre, en vain. «
-Kaorine ! Fais attention a cette pierre ! Elle ne doit pas être dans ses mains ! Ce n'est pas sa place ! C'est la pierre du rituel !
-C'est donc elle, mais... comment la connais-tu ?
-Ce serait trop long à t'expliquer, mais pars d'ici, ou alors aide moi à récuperer la pierre, elle ne doit pas rester entre ses mains !
-C'est à ne plus rien y comprendre ! Comment lui récupérer la pierre ?! C'est un fantôme !
-Tu n'utilise pas de magie ? Tu es pourtant un pokémon psy !
-Ca fait trop longtemps que je ne me suis servi de mes attaques psy, je ne sais pas si ça marchera.
-Essaye toujours, c'est notre seule chance !
Spectrum se dirigeais vers la sortie, mais fut arrêté aussitôt par Karaclée, il recula et se cacha dans la charpente. Kaorine préparait son attaque, il avait du mal. Karaclée savait qu'il fallait qu'il empêche Spectrum de sortir pendant que Kaorine essayait de lancer son attaque, il fallait qu'il le retienne jusqu'à qu'il réussisse. Spectrum se dirigeait vers la porte, mais il était intercepté par Karaclée à chaque tentatives. Spectrum aurait pu passer à travers Karaclée et sortir, mais à chaque fois, il était effrayé et retournait dans le coin le plus sombre de la pièce, une chance pour Kaorine.
Kaorine échouait son attaque, mais cela progressait, il voulait effectué son attaque Psyko, qu'il n'avait pas utilisé depuis 20 ans. Elle lui revenait petit à petit, mais il lui faudrait quelques minutes supplémentaire, ce que ne lui laisserait pas le fantôme. Il se dirigeait vers Kaorine, il avait abandonné l'idée de sortir.
Spectrum fonçait sur Kaorine, celui-ci n'eut autre choix que d'utiliser la seule attaque qui était supposée toucher Spectrum. Kaorine échoua son attaque. Spectrum attrapa un flacon vide posé sur l'étagère et marmonna des paroles étranges. Kaorine sentit une force l'attirer, il rétrécissais à vue d'oeil. Karaclée regardait, mais ne pouvait rien faire. En quelques secondes seulement, le redoutable et redouté Kaorine était dans un flacon, avec la taille d'un insecte. Spectrum dit alors à Karaclée : «
-V... Vous... Vous avez chercher ! Vous avez trouver !
-Mais non, ce n'est pas ce que vous croyez ! Je ne vous veut aucun mal !
-Si, tu m'as empêché de m'enfuir, tu es contre moi, tu vas rejoindre ton ami dans un flacon !
Spectrum marmonna les mêmes paroles que pour Kaorine et Karaclée se retrouva très vite, dans un flacon, avec la taille d'un insecte, comme Kaorine. Son sang se glaça pendant quelques secondes, il sentait ses forces le quitter, il devenait plus petit et perdait petit à petit sa puissance pour se retrouver réduit à néant. La mouche qui passait par là avait un air moqueur. Karaclée n'était plus rien.
Chapitre 5 : Au pied du mont
Givrali parvient à grimper la petite montagne tant bien que mal, sous les encouragements de Lucario, déjà à son sommet. Givrali n’avait jamais aimé la montagne, elle ne l’apprécierais guère plus après ce périple. Elle avait toujours eu peur de la hauteur, elle n’avait pas le vertige mais la montagne ne la rassurait pas, elle se sentait mal à l’aise devant ces immenses cailloux.
Lucario attrapa main de Givrali quand celle-ci fut à sa portée afin de la hisser jusqu’à lui pour lui éviter le dernier effort. Ils n’étaient plus qu’à un jour de marche du mont Kibadji, ils pouvaient même espérer y être ce soir s’ils ne traînaient pas trop en chemin, mais ce n’était pas possible pour Givrali qui traînaient vraiment les pieds en respirant plutôt fort. Le mont Kibadji était visible au loin il ne fallut pas plus de quelques secondes à Lucario pour l’apercevoir, son pic plus haut que les autres monts l’entourant, ses falaises abruptes sur tous les flancs et cette neige éternelle rosée par le soleil du matin étaient propres à ce mont.
Un jour et demi de voyage plus tard, Givrali et Lucario se retrouvèrent devant l’imposant mont Kibadji, Kaorine n’était pas là. Cela inquiétait Lucario, comment Kaorine pouvait ne pas être encore arrivé alors qu’ils étaient, Karaclée et lui, partis un jour avant et allaient plus vite car Givrali avaient fait le chemin à la vitesse d’une limace souffrante. Cela inquiétait Lucario, il fit remarquer cela à Givrali, ça ne la rassura pas non plus, elle paniqua même.
Quelqu’un apparut derrière eux et leur dit : « Kaorine ? Sans doutes qu’il a été capturé par un des sbires de Tyranocif, il a absolument tout mis en place pour que celui-ci ne parvienne pas jusqu’à ce mont. Ses sous-fifres ont pris possession de ce secteur depuis bientôt un an et attaque quiconque s’aventure par ici. »
Lucario se retourna, de même que Givrali, et les deux compagnons virent une Fragilady, debout sur le chemin, lançant son texte comme s’il s’agissait d’une annonce banale. Lucario posa immédiatement un grand nombre de questions : «
- Comment connaissez-vous Kaorine ?
- Qui ne le connait pas.
- Comment êtes-vous arrivé ici sans qu’on vous remarque ?
- Je suis discrète.
- Comment savez-vous tout cela ?
- C’est une longue histoire.
- Et qui êtes-vous au juste ?
- Une résistante. Pendant que vous ne vous occupez que de votre ville, ici, en campagne et en montagne, on lutte contre les sbires de Tyranocif. On a un camps pas loin d’ici, je vous y emmène si vous le souhaitez.
- Volontiers.
Lucario et Givrali suivirent Fragilady mais le chemin ne fut pas long. En effet, quelques minutes plus tard ils se trouvèrent à l’entrée d’une grotte. Tandis que Fragilady leur faisaient signe d’entrer, Givrali essayait de voir plus loin que ce qu’elle pouvait voir, cet antre ne lui inspirait pas confiance. Fragilady actionna un levier et la grotte fut éclairée aussitôt, il ne faisaient aucun doutes qu’elle était très bien équipée. Depuis son entrée on apercevait le mont Kibadji, de toute sa grandeur.
Lucario suivait Givrali sans se méfier tandis que Givrali avait le pas lourd, elle hésitait à chaque fois qu’elle devait poser le pied à terre. Fragilady se stoppa devant une porte haute et large de plusieurs mètres, sur le haut de cette porte étaient des écritures d’avertissement. Fragilady prononça quelques mots en ancien langage et la grande porte s’ouvrit sans bruit. Fragilady fit signe aux deux compagnons de franchir cette porte, ce qu’ils firent. Lucario et Givrali se retrouvèrent devant une sphère de terre depuis laquelle partait au moins une centaine de chemins comme celui que venaient d’emprunter Lucario et Givrali.
Givrali osa une question à Fragilady : «
- Puis-je savoir où nous nous trouvons et pourquoi sommes-nous devant une immense pièce vide servant de débouché pour une centaine de tunnels comme celui que nous venons d’emprunter ?
- Hum... Vous m’avez dit que vous connaissiez Kaorine, alors je vous présente le lieu de résidence de son armée.
- Je ne suis que météorologue et je ne tiens pas à me battre.
- Si tu ne te bats pas tu mourras, si tu te bats tu as une chance de survivre. Poképolis sera rayée de la carte demain au crépuscule, information de nos éclaireurs. Ni vous ni moi ne pouvez faire quelque chose pour ces pauvres gens.
Fragilady emprunta un escalier de pierre taillé dans la sphère afin de rejoindre un autre tunnel et dit aux deux camarades : « Je vais vous présenter le chef pendant l’absence de Kaorine, je vous laisserais alors avec lui, je travaille dans l’équipe médicale si vous le cherchez. »
Apres une longue marche à travers le labyrinthe rocheux, Fragilady se posta devant une porte plus grande que les autres et demanda à entrer, la porte s’ouvrit aussitôt. Lucario entra en premier suivi de près par Givrali, les deux amis se retrouvèrent dans une pièce assez grande, sans décoration, juste munie de deux grandes bibliothèques sur les côtés et un grand bureau noir recouvert de paperasse. Juste derrière ce bureau, il y avait un grand fauteuil de cuir noir dans lequel était allongé le chef de cette immense grotte. Celui-ci ne se retourna pas pour lancer : «
- C’est vous les amis de Kaorine ?
- Oui, répondit Lucario.
- Où est-il lui ?
- Nous l’ignorons.
- C’est à dire ?
- Nous nous sommes séparés en deux groupes avant de partir pour le mont Kibadji, Kaorine et Karaclée, le collègue météorologue de Givrali, sont partis en premiers mais ne sont toujours pas arrivés, Fragilady nous a dit qu’il avait sûrement été capturé par un des sbires de Tyranocif.
- C’est sans doutes vrai. Mais s’il n’est pas là, qui pourra prouver que vous êtes bel et bien ses amis ?
- Rien. Mais nous connaissons la direction et le chemin qu’ont emprunté Kaorine et Karaclée, cela vous sera utile pour le retrouver.
- La situation est tellement dramatique que je suis bien obligé de vous croire. Les habitants de Poképolis ont beau être égoïstes comme personne et nous ignorer royalement, les laisser périr serait se mettre à leur niveau. Kaorine seul peut sauver la ville.
- Je tiens à partir avec l’équipe qui se chargera de la recherche de Kaorine.
- Comme tu voudras mon garçon, sois prudent, les sbires de Tyranocif ne sont pas inoffensifs.
Givrali ne tint pas à partir avec Lucario, elle rejoignit l’équipe de recherche scientifique, puisque celle-ci travaillait beaucoup avec l’équipe médicale, elle connaîtrait déjà quelqu’un.
Lucario avait regagné sa chambre depuis deux heures au moins quand quelqu’un frappa à la porte, il n’attendait personne pourtant. Il se leva malgré tout afin d’ouvrir. Un Gallame se trouvait devant lui, il faisait au moins deux têtes de plus que Lucario mais ne paraissait pas être un ennemi. Quand Gallame lui dit qu’il était le commandant de l’unité chargée de récupérer Kaorine, il le fit entrer. Lucario le questionna : «
- Gallame, pourquoi souhaitiez-vous me voir ce soir ? Une urgence ?
- Je t’en prie, tutoies-moi.
- Si tu veux.
- Je suis venu te voir afin de t’aider à te préparer. Nous partons demain à l’aube et tu n’auras pas le temps de faire cela demain si tu veux dormir un minimum. Il te faudra entre autres de l’eau, de quoi manger rapidement à midi, un kit de survie que je te fournirais demain, la carte d’information de chaque membre de l’unité, nous serons trois rassure-toi tu n’auras pas les poches remplies par des cartes. Et, le plus important, une arme. Les sbires de Tyranocif sont des as de magie, souvent ténèbres et psy, tu ne les vaincras pas avec tes coups de poings et il est un peu tard pour que tu apprennes à te servir de la magie, mais sois rassuré tu seras bien entouré, je suis l’un des meilleurs combattants psy et un camarade de notre équipe, Morphéo ne se bat qu’avec de la magie, il en connait 3 types ! Un allié redoutable. Et tant qu’à faire je vais te présenter le dernier membre de notre groupe, il s’agira de Magirêve, c’est l’un de nos plus anciens et valeureux combattants. Des questions ?
- Euh... Est-il possible de changer l’oreiller ? Le préfère les coussins aux polochons.
Par quoi commencer?
Au niveau du français pur et dur :
- Le premier truc qui marque, c'est la concordance foireuse des temps. Le récit commence au passé, et on sait pas trop pourquoi, maiiiiiiiis ça passe au présent pour 3 lignes, alors que le contexte n'est absolument pas favorable. Intervention Divine dirons nous. A citer aussi quelques irréductibles verbes conjugués au présent dans le gros pavé post "introduction" qui résistent encore et toujours aux temps du passé.
- Quelques fautes d'orthographe, de conjugaison et d'accord parsemés par ci par là, étant donné que tu connais tout ça, je pense que j'ai pas besoin de te faire de dessin, tu vas pourvoir les corriger. Des phrases parfois longues, chiantes à lire, qui auraient pu constituer 2 ou 3 phrases bien plus agréable à lire.
- Et la note pour faire chier => Tu ouvres souvent les guillemets, mais la moitié du temps, tu oublies de les refermer.
Niveau Pokémonde : (Pas de bol, t'es tombé sur un amoureux de la série.)
- Poképolis, kékécé? Aucune description, rien qui indique ne serait-ce que l'apparence globale de la ville (Huttes, Gratte-Ciel? on ne sait pas).
- Un détail qui m'a fait un peu ricaner :
N'allez pas croire que les héros ont des supers-manteaux ou d'autres gadgets dans le style[...]
Lucario sortit des shurikens et en lança deux
A ma connaissance, Lucario n'a jamais eu, de manière naturelle, de Shuriken. De plus, que ce soit dans les jeux principaux ou dans les Spin-Off, le Shuriken n'a jamais fait partie des objets utilisables ni par les humains, ni par les Pokémon. C'un peu contradictoire avec l'histoire de gadjets. Jerry, merci.
- Insulte à la licence : "Tyrannosaure... Diplodocus..." Car c'est vrai, il n'y a jamais eu de Pokémon préhistoriques. Manquerait plus que Staoshi Tajiri nous invente, je sais pas moi, des fossiles d'ammonite, ou un Pokémon pachycephalosaure.
- Autre truc : "Tu maîtrises l'aura à ce que je vois, c'est très intéressant, vraiment. "
Aura? Je ne sais pas ce que c'est. Il faut p'têtre expliquer ce qui l'en est. Le commun des mortels n'a pas la science infuse. Ca te parait évident pour toi, ouais - quoi que, je me pose des questions - mais pour ceux qui seraient intéressés sans connaitre la série, un gros "GNE?" s'affiche dans leur boîte crânienne. Je sais pas si tu le sais, si oui, faut revoir les tournures de phrase, mais Lucario ne maîtrise pas l'aura (Aurasphère si, mais c'une autre histoire), mais est capable de percevoir l'aura des autres, l'aura pouvant se définir comme l'énergie vitale qui émane de chaque être.
- Ce dialogue (ci dessous) est totalement incompréhensible. Sisi.
-Dis-donc jeune homme, comment savais-tuque je cherchais ça ?
-je ne le savais pas, mais je vous voyais sans vraiment être très heureux de voir tout ces squelettes antiques, donc j'ai eu l'idée de vous emmener dans cet endroit, où est exposé un squelette de légende.
-Oui, et j'ai besoin de ces os, mais ils n'y sont pas tous, j'en ai récupéré deux, mais je ne crains que ce soit suffisant pour pouvoir commencer le rituel, je n'aurais certainement pas tout les os à temps, désolé d'avance si tu perds la vie... Lucario ?
-oui, c'est ainsi que je m'appelle, mais pourquoi si tout les os ne sont pas sur le squelette est grave ? Je ne comprends pas là pour le coup.
-Ce qui arrivera importe peu, mais il faut éviter que ça arrive, regarde les gens dehors, ils jouent, ils s'amusent, ils sont heureux quoi, et ça, c'est ma raison de vivre, si ça s'arrête, je ne suis plus rien, rien qu'un corps errant sans but ni âme...
-Bon, que puis-je faire ?
-Oui, tu pourrais m'aider, j'ai vu que tu était plutôt bon, la preuve, tu t'es infiltré ici.
-Pas pour longtemps, les gardes arrivent, si on ne part pas, on est mal, vous tout autant que moi, vite !! Courez !! »
Quand ils rentrent dans la salle, en parlant du squelette, une petite description n'aurait pas été du luxe. Perso, ça m'a paru tellement évident qu'il manquait des os du squelette que j'ai pas été choqué. Surtout qu'en plus, Kaorine en a aussi, pour un rituel balancé comme ça, parce que ça fait beau. On en sait pas plus, rien, nada, et le suspense est tellement bien géré qu'on peut presque deviner une fin du monde s'il se réalise/ne se réalise pas.
- Le coup du rêve progressif me fait énormément penser à Pokémon Donjon Mystère, premier du nom. Si c'est un Gardevoir qui parle, je t'étripe (Tu es prévenu)!
- Sinon, les actions s’enchaînent parfois trop rapidement, en bouffant la place des descriptions, ce qui annihile la compréhension de ton récit.
J'crois que j'ai fait le tour, t'façon, j'ai envie de pioncer, alors je ne m'attarde pas plus sur ton cas.
One direction :ninja:
Nan mais blague à part je rejoins mon con frère, y a quelques idées pas mal mais tout s'enchaîne trop vite sans description (et pour le coup c'est un fan de réaliste qui parle) et du coup on ne comprend pas l'univers et ce qu'il se passe. Les descriptions ça laisse aussi le temps au lecteur d'asssimiler ce qui vient de se passer tout en imaginant la suite dans un lieu/monde qu'il doit pouvoir visualiser.
Je pense que pour le coup t'es tombé dans le piège assez typique du "je prends un univers connu, ils sauront de quoi je parle".
Je retravaille ça avec tout ce que vous avez dit.
J'ai réfléchis aux endroits où la description serait utile et montrerait plus l'endroit dans lequel se trouvent les héros.
et angelo, oui, tu as entièrement raison, j'avais déjà remarqué ce problème dans ma fanfic précédente, j'ai tendance à ne pas détailler car pour moi tout parait si logique. Mais c'est effectivement vrai que tout les dq fanien ne connaissent pas forcément pokémon.
donc je rectifie tout ça et je vous le poste accompagné du chapitre 2 disons avant fin septembre.
et merci à vous deux.
La longueur a rien à voir, ce qui se passe actuellement dans un chapitre un ne peu que difficilement se couper en deux. A la limite quand Lucario et Kaorine entrent dans la salle du squelette de Tyranocif, et encore.
Avoir un gros pavé bien fluide est plus agréable qu'un p'tit truc chiant comme la mort.
Pour les descriptions, faut du contexte, de la matière. Là, c'est vraiment dur de s'imaginer ce qu'est poképolis par exemple. Ou le "rituel" qui est sorti de je ne sais où. (Lucario semble en avoir rien a foutre en plus).
Ta fic quand je la lis, je vois les persos, mais sur un fond blanc. tu vois un peu le truc? (et encore, parce que je connais Lucario et Kaorine)
pour la matiere dans les descriptions, tu entends ça par dire "les murs de cette maison était fondée dans un béton très friable maintenant devenu jaune, c'est ainsi que poképolis avançait jour après jours de sa fin" ?
Par exemple ouais (moins les fautes). Par matière, je voulais dire que ta description soit consistante, qu'elle ne soit pas seulement floue voire inexistante.
"Poképolis, véritable cité Pokémon, s'étendait sur une grande plaine. Ses grandes maison faites de pierres et de bois abritaient efficacement les nombreuses familles de Pokémon que la ville concentrait en son sein. La ville était littéralement coupée en deux par une large route. Celle-ci passait par la place centrale de la ville, appelée Place Pokémon, place de verdure et de rendez-vous. C'est ici que siégeait la grande fontaine de Poképolis, bassin aquatique alimenté par des Bargantua de pierre, où les jeunes Pokémon aimaient venir se baigner.
C'est dans cette rue que déambulaient nos deux héros, acclamés par la population de Poképolis. Emportés par la foule, les deux compères furent emmenés jusqu'à la Place Pokémon, où il fut décidé d'ajouter à la fontaine une statue de Lucario, pour féliciter sa bravoure. Car en effet, il avait sauvé Poképolis d'un danger pourtant inévitable."
C'est pas super comme description, mais on arrive déjà un peu plus à s'imaginer la ville.
pas mal, l'histoire...
Oui, j'ai souvent de bonnes idées niveau scénario, après c'est sur la tournure du texte et pour le rendre plus simple et agréable à lire.
Citation: Arkane le Jeudi 3 Octobre 2013 à 10:18
correction du premier chapitre effectuée, en revanche, pour les fautes ça attendra, ce n'est pas urgent. J'espère que ce sera bien mieux :/
Sans vouloir t'offenser, je pense que les fautes sont les premières choses à corriger car elles sont les premières choses qui répugnent un lecteur. Très personellement, j'aurai du mal à lire un bon texte mais truffé de faute. Il se peut même que j'arrête de lire tellement c'est horrible. (Je dis pas que c'est ton cas). Peut-être que, pour toi, ce n'est pas important, mais je t'assure que ça influence la suivie du lecteur.
[Edit] Dans ton cas, je crois pas que t'auras à faire grand-chose mais c'est quand même pas une chose à prendre à la légère ;].