Le Bar des écrivains
Avis, le jeune Célestellien, pianotait sur la table sans savoir quoi faire depuis une dizaine de minute. La maison était aussi rangée qu’elle pouvait l’être, et rien de bien intéressant à explorer ne se profilait à l’horizon. Il mangea l’un des fruits que Solo avait ramené ce matin avec un autre de ses camarades, la main sur la joue, et un coude sur la table, l’air maussade. Il avait tendance à vite s’ennuyer quand personne ne lui faisait la discussion, et il voleta tristement dans l’air pour sortir de la maison et jeter au loin son trognon. Le reste de fruit cogna un arbre et, en retombant sur le sol, fit un bruit des plus curieux. Avis vola rapidement au pied de l’arbre, poussa le trognon, et gratta la terre à l’endroit où il était tombé. Il examina la zone autour de lui, mais ne trouva rien d’intéressant et, déçu, il reparti en direction de la maison en traînant des pieds, quand une douce voix lui arriva, porté par le vent. Avis se retourna instinctivement, et scruta dans les herbes hautes, les fourrés, les buissons, à la recherche d’un indice, et sursauta lorsqu’il finit par distinguer deux yeux bleues qui le fixaient patiemment à travers la végétation. Il s’approcha doucement, après s’être assuré que les yeux n’appartenaient pas à un Manikins, puis tenta un premier contact en douceur, demandant à la personne de s’identifier.
Une douce voix, tendre comme le vent, lui répondit qu’elle n’était pas une ennemie, bien au contraire, et qu’elle souhaitait récupérer un objet qu’elle avait perdu dans les parages, après avoir fui la destruction du village. Elle se leva alors, et Avis resta sans voix devant la beauté de la jeune femme qui se trouvait là. Elle s’avança d’un pas chaloupé, puis embrassa Avis sur la joue pour le remercier de ne pas avoir attaqué quand il le pouvait, et le gratifia d’un grand sourire quand celui-ci rougit sous le contact de douces lèvres. Elle lui dit s’appeler Ruisselune, qu’elle était la cousine de Laurasia, et qu’elle en avait pour preuve l’insigne sur sa coiffe, qu’Avis reconnu très bien. Il s’agissait de l’aigle doré, serti d’une sphère rouge, l’emblème que portaient Laurasia et Roto. Le jeune homme demanda toutefois plus d’explication, et la femme les lui donna sans attendre.
_"J’aurai voulu rejoindre mon cher cousin, mais je ne pouvais simplement pas, petit ange. Vois-tu, je suis dans un groupe, et j’avais une, heh bien une mission spécial, et je ne pouvais pas perdre de temps en sensiblerie. D’autant que je ne suis même sûr qu’il se souvienne de moi. "
_"Quel genre de mission menez-vous avec votre groupe ? Nous pouvons vous aider vous savez ! "
La jeune femme tourna le dos au jeune Avis, pour qu’il ne la voie pas rouler des yeux, agacée par ces questions. Elle se força à sourire, puis se retourna vers lui. Avis eut alors un frisson d’effroi, quand il vit que la jeune femme le regardait avec une intense froideur, proche de l’envie de meurtre. Il recula doucement, tâtant dans son dos pour attraper son épée au cas où, mais la jeune femme lui dit que cela était inutile.
_"Gamin, si je voulais que tu meurs, tu ne pourrais rien y faire, crois-moi. Et pour tout te dire, ta mort ne servirait pas vraiment mes plans… Tu as encore un rôle à jouer, je peux clairement le voire. Alors maintenant, fais-moi plaisir, oublie que tu m’as vu, retourne dans ta… Ta maison minable, et attend tes amis. "
Avis, comme hypnotisé, obéit immédiatement à la femme et rentra pour tout oublier à l’instant même où il se rassit, tandis que la belle et dangereuse créature ramassait l’objet qu’elle était venue chercher, une petit sphère dorée. Elle maugréa un temps, maudissant Nimzo d’avoir caché un objet dans en endroit aussi isolé, mais se félicita de l’avoir retrouvé avant que le grand comploteur ne se souvienne de son existence.
_"Magargie ma fille, tu es vraiment en voie pour duper tout le monde, dit-elle en souriant. Bon, et maintenant, je n’ai plus qu’à trouver ce fichu Zoma. Si les informations de Mortamort sont correctes, il devrait se terrer dans cette stupide tour, pour planifier son attaque vers le camp des réfugier, loin au Nord, vers le « pays des merveilles », ou je ne sais quel endroit encore plus perdue. Tsss ! Ce qu’il ne faut pas faire pour renverser le cours de la guerre ! "
Magargie jeta un dernier coup d’œil aux maisons en ruines, ainsi qu’à la bâtisse abritant Avis, et sourit malicieusement, en disparaissant dans un tourbillon obscur.
Un gros Up pour vous dire que j'ai modifié le premier message et mis tous vos textes dedans! Enfin!
N'hésitez pas à me dire si j'en ai oublié un; je ne voudrais surtout pas que vous vous sentiez mis à l'écart pour ça ^^.
Juste une petite chose pour Darkwillalex: je n'ai pas mis les tiennes puisqu'elles font partie de ta fic perso. Disons que si je les mets ici, les gens qui n'auront pas lu ta fic ne comprendront pas grand-chose. J'espère que tu comprendras la raison de ma décision mais n'hésite pas à te manifester si cela de dérange :).
Voilà, c'était juste pour dire ça. Alors, continuez à écrire des OS et à les mettre sur le topic x).
Citation: VicBlmg4 le Mardi 10 Décembre 2013 à 21:33
Je crois qu'il y a quelques problèmes de retour à la ligne sur certains OS
En effet >< c'est fâcheux.
je vais de ce pas changer ça.
(edit) corrigé! :)
Juste une petite chose pour Darkwillalex: je n'ai pas mis les tiennes puisqu'elles font partie de ta fic perso. Disons que si je les mets ici, les gens qui n'auront pas lu ta fic ne comprendront pas grand-chose. J'espère que tu comprendras la raison de ma décision mais n'hésite pas à te manifester si cela de dérange :).
Je comprend parfaitement, t'en fais pas. Tu fais du favoritisme pour les autres. :P
Je pense les mettre sur la pages de ma fic de toutes manière, quand j'aurai finit tous les .5 de ma première saison, tant fais pas. =w=
Jolie boulot au passage ! ;)
Et vive le permis ! (Dragon Quest IV)
En 2014 après J-C, toute la France est occupée par des français. Toute ? Non, un village résistait toujours et encore à l'envahisseur, c'était le village de Kolique ! Avec un K, comme dans Kostaud !
Vivait ici des personnages aux airs étranges, c'était les héros de Dragon Quest IV et Psaro. Mais une communauté tranquille.
Psaro : Ainsi donc Mina, tu as obtenu ton permis ? C'est super !
Mina : Oui Psaro, et j'en suis très fière et pour fêter, on va faire un tour.
Tout le monde était très heureux et Mina se mit en direction de l'autoroute.
Une fois arrivée sur l'autoroute, elle roula à la vitesse autorisée, qui était de 110 km/h, mais en changeant d'autoroute, puis encore une fois, et encore une fois, tout le monde commençait à faire la croix. Mais elle se fait arrêter par des policiers, qui lui demandent son permis.
Mina : Voici les papiers du véhicule.
Policier : C'est bon, mais expliquez moi dans ce cas pourquoi vous roulez à 34 km/h ici ?
Mina : Bah, on est pas sur l'autoroute A34 ?
Policier : Non ! C'est le numéro de l'autoroute, euh, pourquoi il y a du vomi derrière et votre ami aux cheveux verts qui fait une prière ?
Mina : Ca doit être parce que on était sur l'autoroute A742
Policier : Mais il y a aussi la A2 et la A598 entre chez vous et ici !
Mina : Dites monsieur l'agent...
Policier : QUOI ?!?
Mina : On a été victimes de flash d'appareils au bord de la route aussi à 5 reprises, on pourra avoir les photos s'il vous plait, mon gentil monsieur.
Policier : Oui... mais pour le moment, dites moi où vous habitez.
Mina : On habite tous à Kolique.
Policier : C'est ça.. et moi, j'habite à Montcuq.
Mina : Bah, en même temps, au vu de votre tête...
Policier : Je vais appeller François Hollande, vous avez intéret à avoir un ange gardien !
Psaro : Cool, il pourra me dire comment pécho des actrices ?
Mina : Psaro ! Tu es avec Rose, je te rappelle.
Solo : Et c'est même pour ça qu'on t'a combattu.
Psaro : Oui, mais je vous rappelle qu'on roule pas avec une voiture volée.
Policier : Pardon ?
Psaro : Oui, mais je vous rappelle qu'on ne vole pas avec une voiture roulée.
Après, c'est ainsi que nos héros punis de leurs actes sont mis en prison, mais ils rentrent chez eux 2 ans plus tard, mais en prenant la A4520 (oui, j'ai tagué un 0 en plus à la fin). Et le village de Kolique devenit le village des bourrés.
A quand le prochain épisode ?
Je l'ignore, mais sachez qu'à partir de quelques blagues même sans véritable intérêt, en les exploitant bien, on peut créer quelques merveilles.
Hop, petit extrait d'une fan fiction DQ IV que j'avais commencé à écrire. Petites précisions vite fait : Enzo, c'est le personnage qui était censé remplacer Eliza, et la voix éraillée, c'est Mina. Voila, ça suit pas vraiment le scénario du jeu, mais bon.
Bonne lecture :3
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Elle était accroupie sur le bord d’un pont. La rivière coulait paisiblement dans son lit, au dessous d’elle, dans un clapotement agréable. Le vent léger apportait avec lui l’odeur des fleurs environnantes, créant un mélange de senteurs magiques pour le nez.
La jeune femme tenait dans sa main une grenouille, ou un crapaud, elle ne savait pas trop. En tout cas, la bestiole était assez moche, sa peau verdâtre était couverte de grosses pustules. L’amphibien dévisageait la jeune fille et son sac vocal gonflait et dégonflait au rythme de ses paroles.
- Aller coâ. C’est juste un baiser coâ. C’est indigne qu’une paysanne comme coâ refuse de lever une terrible malédiction lancé par une vilaine sorcière à un joli prince coâ...
Le contact avec la peau moite de l’animal lui donnait des frissons. Elle se contenta d’écouter avec amusement les supplications de ce dernier.
- … Et pour cet acte charitable, tu seras ma promise coâ. Imagine coâ, Princesse Sophia…
Elle gloussa et repoussa une mèche de cheveux émeraude. Elle approcha la main tenant le crapaud de son visage, ferma les yeux et se prépara à embrasser la chose.
Elle se trouvait désormais dans une petite pièce. Une cave peut-être, éclairée par quelques torches accrochées sur les murs en briques grises. L’ambiance avait drastiquement changé. L’atmosphère utopique avait laissé place aux cris et à l’odeur de braise.
Tremblante, confinée dans un coin de la pièce, elle contemplait elle-même, debout au milieu de la pièce en train de caresser lascivement chaque partie de son corps.
Au dessus d’eux, on poussa une longue plainte déchirante.
- C’est très agréable d’être toi en fait, tenta d’ironiser l’autre qui n’arrivait pas à masquer sa peur. Mais ça n’a rien de spécial.
Blottie dans son coin, apeurée et hagarde, elle ne parvenait pas à tenir tête à l’autre qui caressait ses fesses avec insistance. Il se passait tellement de choses dans sa tête et à en juger par les bruits de pugilat atroces au dessus d’elle, il se passait également beaucoup de choses au dehors. Tant de questions… L’autre elle posa sa main sur son épaule tremblotante.
- Tout va bien se passer. Survis, et tu sauras, dit-elle comme pour répondre à ses pensées. Je n’ai plus de temps, je dois y aller. Reste ici, en silence. Et n’oublie pas, attends avant de quitter la cachette, quand même ce sera fini. Attends encore.
Après avoir donné ces obscures indications, elle alla de l’autre côté de la pièce et tira sur une torche. Une ouverture se découvrit et l’autre s’engouffra dedans. Et là, durant les quelques secondes entre le moment ou l’autre disparaissait de son champ de vision et la fermeture du passage, elle voulait tellement se lever, l’attraper, l’étreindre, lui dire à quel point elle avait peur et tout le reste… Tout lui dire, à elle, ou plutôt lui…
Et quand elle entendit au dessus d’elle sa propre voix crier, hurler de douleur, avant de s’éteindre à jamais, elle lutta abominablement contre le puissant désir de l’appeler, contre la soif de réponses qu’elle n’aurait jamais. Enzo ! Ce nom résonnait si fort dans son esprit.
Son visage aux traits fins, ses grands yeux bleus, sa longue chevelure blonde presque blanche nouée en une queue de cheval. Encore si clairs dans sa tête.
Enzooo ! Enzooo !
Les torches s’éteignirent, les murs s’effacèrent. Le visage d’Enzo disparaissait dans le néant et elle, elle se débattait si fort pour l’attraper.
Enzo ! Enzo…
Des voix lointaines s’élevèrent.
En-zo… En…
- … Le roi me demande, disait une voix fatiguée. Je vous prie de m’excuser.
- Je comprends mon Père, disait une voix féminine au timbre légèrement éraillé. Je ne saurais vous remercier assez de vous être déplacé.
- Vous savez ma Fille, pour une personne qui n’a pas suivi les enseignements de la Déesse, vous avez admirablement bien œuvré. Sans vos soins, la pauvre aurait été très certainement morte avant que je ne puisse venir.
Il marqua une courte pause avant de continuer.
- Je ne dis pas ça pour vous affoler ma Fille, mais avec tous les évènements qui se sont passés ces derniers temps, notre Roi est fort préoccupé. Je suis certain qu’il la fera demander au château très prochainement. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser…
Le plancher craqua sous les pas qui s’éloignaient. On pouvait difficilement entendre la suite de la conversation.
- … service d’ordre personnel, disait la voix féminine, mais le reste de sa phrase fut recouverte par la plainte d’un escalier en bois trop usé par le temps.
Quelques bribes indistinctes parvenaient encore ici. Puis ce fut le silence.
Et ce fut dans ces instants muets qu’elle émergea, prenant peu à peu conscience de l’endroit où elle se trouvait. Confortablement installée, elle était emmitouflée dans une couverture et dans la tiédeur rassurante qu’était celle d’un lit. Malgré tout ça, plus elle sortait de l’inconscience, plus le calme environnant laissait à ses peurs et ses doutes le temps de l’assaillir. Que s’était il passé ? Où était-elle ? Un rêve ? C’était un rêve ? Tout ça, ça paraissait si… imperceptible maintenant, lointain. Ces voix aussi… Que racontaient-elles déjà ? Loin… un rêve oui. Elle se sentait si faible, si… engourdie. S’était elle encore évanouie d’épuisement après un de ces interminables entraînements à la magie ? Elle y était tellement nulle. Et en combat aussi. Nulle. En tout. Enzo. Il allait encore se moquer, lui. Enzo… Pourquoi rien qu’à la simple évocation de son nom, ses yeux brûlaient par ses larmes ? Pourquoi son cœur battait tellement si fort à sa pensée ? Fort à lui faire mal. Fort à lui exploser sa cage thoracique. Pourquoi ?
Comme pour se débattre contre cette torture, elle écarta brusquement du bras ses draps. Mille éclairs de douleur transpercèrent chaque partie de son bras, de l’épaule jusqu’au bout de ses doigts. Sous l’effet de la surprise, un cri lui échappa. Elle se recroquevilla, haletante, tenant fermement son bras incandescent avec son autre main. Elle resta donc là, immobile en boule dans le lit, gémissant quelques fois.
- Oh, tu t’es réveillée ?
Elle tressaillit. Dans sa crise, elle n’avait pas remarqué qu’une personne était rentrée dans la pièce. Une femme. Une femme à la voix inconnue. A cette pensée, un nouveau sentiment de panique la submergea. Elle se blottit encore plus au creux de son lit et resserra l’étreinte sur son bras meurtri, ce qui amplifia la douleur. L’inconnue eut donc pour simple réponse un gémissement étouffé. Réponse qui sembla la satisfaire.
- Je vois… C’est ton bras. Je suis capable de guérir les plaies superficielles très facilement, mais ton ventre et ton bras étaient dans un tel état lorsqu’on t’a retrouvé… J’ai fait tout mon possible, mais le prêtre a bien précisé qu’il faudrait encore du temps avant que ça ne guérisse. Néanmoins, je peux t’aider à supporter la douleur si tu me le permets.
Elle écouta tout ce que l’inconnue lui dit, mais elle ne répondit pas. A peine avait-elle eu le temps de réfléchir sur ces paroles que l’on s’appuya sur son lit. Des cheveux vinrent chatouiller le haut de son visage, l’incitant à garder ses yeux clos. Sa respiration se fit plus rapide lorsque l’inconnue lui prit délicatement le bras. Elle se crispa plus encore quand elle sentit la chaleur du corps de l’autre, courbée au dessus d’elle, si près.
- N’ai pas peur, dit l’étrangère d’une voix douce, quoiqu’un peu éraillée. Je ne te veux aucun mal.
Suite à ça, elle murmura quelques paroles inintelligibles. Aussitôt, une vague de chaleur enveloppa son bras. Peu à peu, la douleur s’estompait. Elle semblait se rétracter au sein de la chair de son bras, toujours plus profondément au fur et à mesure que la chaleur prenait possession de l’entièreté de son membre jusqu’à disparaître complètement. La chaleur semblait ensuite s’étendre au reste de son corps. Pendant un instant, plus rien ne semblait exister autour d’elle. Plus de lit, plus d’inconnue, plus de peur, plus de douleur. Juste elle. Elle et cette chaleur qui lui accordait un si puissant sentiment de bien-être. Elle se sentait partir, loin, si loin, même quand la vague de chaleur eut commencé à faiblir jusqu’à s’éteindre. Elle ne remarqua qu’à peine les cheveux qui glissèrent sur son visage ni le grincement du lit quand l’autre se leva. Elle sombra peu à peu dans l’inconscience, en toute sérénité.
Sinon mon texte: DQVII
-Kyllian: Bon bah salut les gens j'ai trouvé mon amo...mon destin!
-Héros: Et comment j'annonce ça à ton père moi?
-Kyllian: Oui oui moi aussi je suis triste. Allez salut!
-Héros: Quoi? Et! Rends moi au moins les graines de force!
-Kyllian: Bah non! Je fais comment pour draguer Lala après moi?Euh je veux dire pour protéger les Pérégrins?
-Héros: Mais non mais....ahhh! *Téléportation!*
Plus tard juste après Malempis:
-Héros: Ah...ça fait du bien d'être champion, Raph aussi et Maribel druidesse!
-Mec très c*****: Eh vous permettez? Je vous emprunte Maribel pour un (hyper long) instant! Merci!
-Raph: Mais on n'est plus que deux?
Après des recherches approfondies:
-Héros: Pff...on est bloqués. Mais où se cache la tablette suivante?
-Raph: Attends...ah si! Sur DQfan un certain Tulipe99 a dit: on peut récupérer un autre perso avant Providence! Il s'appellerait: Sieur Govin de Klenfer...
-Héros: Lâche tout de suite DQ9!
Après avoir eu Sieur Gauvain:
-Sieur Gauvain: Je suis un héros légendaire!
-Héros ( à part): Un héros? Maîtriserait-il la vocation...?
-Sieur Gauvain: Je ne maîtrise aucune vocation! Je suis niveau 19 et vous 32! J'ai hâte d'être un fardeau pour toute l'équipe!
-Héros: J'imagine que t'as tout oublié tes vocations et niveaux à cause de l'alzheimer...
-Sieur Gauvain: Plaît-il?
-Raph: Et en plus il est sourd...
Après Charmeville:
-Héros: C'était dur, long, mais on y arrivé: après de heures de farm: on a chacun sa vocation ultime et un niveau démesuré!
-Raph et Sieur Gauvain: Ouais! On est les meilleurs!
-Zora: Coucou!
-Tous sauf elle: T'es qui toi?
-Zora: Le prochain fardeau! Mais je maîtrise danseuse!
-Héros: Et tu es niveau 24...
-Sieur Gauvain: Personne n'est parfait...
-Raph: Elle est plutôt mignonne...elle vient avec nous!
-Héros: Raph , tu te rends bien compte que c'est la petite petite petite fille de Kyllian?
-Sieur Gauvain: Personne n'est parfait...
-Héros: Et merde, comment je vais annoncer ça au roi Aldric? Sa petite etç fille en couple avec Mowgli...
Plus tard, devant Orgodémir:
-Héros: C'est quoi cette coupe de cheveu pourrie?
-Zora: C'est sur qu'il est bien moins beau que mon Raphounet...
-Raph: Ses cheveux, on dirait la barbe de Sieur Govin...
-Orgodémir: C'est du style punk, bande de mortels! Et puis toi le héros, tu peux parler avec tes jolies petites taches roses sur les joues!
-Héros: Rrrr....Décuplo! Altération! Tension! Casse-dentier! A toi Raph!
-Raph: Mais non! Je lance Omnisoin pour ma Zora qui a perdu 2 PV!
-Zora: Je fais la danse sensuelle à Raph!
-Sieur Gauvain: Tout-puissant sauvez-nous...
Voici un extrait d'une fanfic que je suis en train d'écrire, dès que je l'aurai finie, je la posterai en entier
Univers: Dragon Quest VIII
11 ans se sont écoulés depuis que Rapthorne fut détruit par une équipe de héros courageux,
Cette histoire se déroule dans la région de Trodain...
"Orion, tu viens? Angelo arrive!"
"J'arrive père!"
Orion se trouve dans la bibliothèque.
Orion est le fils de Eight. Il a demandé à son père de l'entrainer pour qu'un jour, il puisse devenir un héros aussi.
Mais aujourd'hui, Angelo, l'ancien compagnon d'armes de Eight, vient faire sa visite mensuelle pour tenir ce royaume au courant de ce qu'il se passe dans le monde.
Orion a profité d'une visite d'Angelo précédante pour lui demander de lui apprendre comment manier les rapières et depuis, Angelo entraine Orion à la place de son père quand il fait une visite à Trodain.
[Cour du chateau]
Eight et Angelo discutaient sur les dernieres nouvelles du monde.
{Angelo}"Il fallait que je te dise, en passant à Alexandria, on m'a rapporté que l'énergie magique du monde s'était affaiblie brutalement depuis quelques jours, c'est aussi la cause de pourquoi je suis arrivé un peu plus tard que d'habitude, les sorts de Téléportations et les Ailes de chimère n'ont plus qu'effet dans un zone de 100km et peuvent même téléporter au dessus de l'océan!"
{Eight}"Ce que tu me dis est un évenement grave Angelo, est-ce que le trajet s'est bien passé pour toi?"
"Oui, j'ai fait comme d'habitude éscale à chaque ville et je n'ai entendu cette histoire de téléportation dans l'eau qu'à Port Espérance mais je pensais plûtot qu'il s'agissait d'une blague ou d'un raté de débutant en magie."
"Cela reste inquiétant mais ça ne t'empêchera pas de..."
Orion arrive par la grande porte en courant.
"VENIR M'ENTRAINER!"
{Eight}"je n'allais pas dire ça mais c'est vrai"
{Angelo}"Eight, si tu as besoin de moi, tu sais où me trouver.[Eight part] Mais maintenant, il me semble que comme tu es là, [se tourne vers Orion] c'est l'heure de ton entrainement"
<Fin de l'extrait>
Oh, mais c'est sympathique dis donc! Hâte de lire la suite
Ce n'est actuellement que le prologue et je posterai un par un les chapitres auront au moins 3 à 8 fois plus de longueur selon les cas
J'ai actuellement fini d'écrire environ 50% de cette fanfic (bonus exclus)
Bonus gratuit sur un personnage de ma fanfic:
Orion:
Fils de Eight et Médéa, a 9 ans, pratique un entrainement aux épées, aux boomerangs et aux lances donné par son père, apprend à manier la rapière quand Angelo fait sa visite mensuelle.
Il adore manger des herbes médicinales, on les lui limite car il en est accro.
Yangus en profite pour gagner de l'argent en achetant des herbes à Lontania en en les revandant deux fois plus cher à Orion.
anecdote triste: la clé usb sur laquelle j'avais enregistré cette fanfic est cassée, je epnse, donc actuellement inutilisable, donc j'ai perdu plusieurs écrits, dont cette fanfic dq8
j'écris l'anecdote le 07/03/2024, mais ça fait un certain temps que j'ai arrêté d'écrire cette fanfic